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Ce qui va changer pour les chômeurs de plus de 50 ans dans le canton de Neuchâtel

La perte de son boulot après 50 ans, c’est parfois le début d’une longue galère. Dans le canton de Neuchâtel, les chômeurs «seniors» passent plus de temps à rechercher un emploi que les plus jeunes. Comment le vivent-ils? Quels sont les problèmes qu’ils rencontrent? Après le constat et les témoignages, le troisième et dernier volet de notre série présente des pistes pour aider les chômeurs.

27 nov. 2017, 15:30 / Màj. le 27 nov. 2017 à 16:57
Plusieurs "solutions" existent pour optimiser ses chances lors de la recherche d'un emploi.

Nous avons précédemment donné la parole à Philippe*, ainsi qu'à d'autres personnes ayant perdu leur emploi après 50 ans. Des situations difficiles, car dans le monde du travail actuel, les personnes de cette tranche d'âge sont souvent victimes de préjugés.

La situation n'est pourtant pas sans espoir. Il existe certaines pistes pour augmenter ses chances de retrouver un emploi. De plus, le Service de l'emploi du canton de Neuchâtel est conscient du problème et s'attelle à trouver des solutions, comme l'explique Valérie Gianoli, cheffe du service.

Le chômage, c’est dur. Surtout à plus de 50 ans, lorsque l’on est jugé trop vieux et trop cher par de nombreux employeurs.

«Nous sommes conscients que c’est une classe d’âge particulièrement touchée. Elle a d’ailleurs été identifiée comme une population à risque. Dans le cadre de la stratégie ‘intégration professionnelle’et de la réforme en cours du Service de l’emploi,...

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