Les entreprises neuchâteloises doivent former davantage d’apprentis dans le domaine des métiers techniques. Mais la formation pratique, surtout au début de l’apprentissage, demande du temps et du personnel, ce dont les entreprises ne disposent pas forcément. Le Canton de Neuchâtel, lui, continue de batailler pour développer l’apprentissage en mode dual (en entreprise et en école). Et il dispose d’écoles professionnelles à même d’assurer la formation pratique initiale.
Mélangez le tout et vous obtenez un nouveau modèle d’apprentissage, présenté ce jeudi par les partenaires impliqués dans l’opération. Il a pour nom «partenariat flexible» et il concerne les formations d’automaticien, micromécanicien, informaticien, qualiticien en microtechnique, électronicien et horloger (toutes pour le CFC, avec ou sans maturité professionnelle).
A l’heure actuelle, ces six formations comptent un total de 550 apprentis. Autant de métiers qu’il faut aussi mettre au féminin, et cela d’autant plus que les jeunes filles sont très peu nombreuses à se...