On est tous pareils. On aime le policier qui nous protège, on n’aime moins le flic qui nous colle une prune ou nous fait souffler dans le ballon. C’est ingrat, mais c’est humain.
Réalisé entre mai et juin 2019 par l’Ecole des sciences criminelles de l’Université de Lausanne (Unil), un sondage a questionné le sentiment de sécurité physique et numérique des habitants du canton de Neuchâtel dans leur vie quotidienne, ainsi que leur perception de la Police neuchâteloise.
Sur les 12 000 questionnaires envoyés à des résidents du canton âgés de plus de 16 ans, 2167 personnes ont répondu en ligne. «Nous avons obtenu un échantillon représentatif en âge et en genre», assure Quentin Rossy, professeur à l’Unil.
Dévoilés ce lundi matin, les résultats nuancent cette relation amour-haine présumée entre...