Le petit train touristique de Neuchâtel gravit la colline du château, sauf lorsque les députés siègent. Les voitures parquées sur le parvis de la collégiale l’empêchant de faire demi-tour, il attend ses passagers en contrebas.
Mais voilà, mercredi, on n’avait pas dit au chauffeur qu’il y avait session… Bloqué une partie de la matinée, l’homme au chapeau de paille a demandé à une vingtaine de touristes français de rentrer à pied.