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Bibliothèques neuchâteloises et jurassiennes: le divorce ne devrait pas nuire aux usagers

En 2021, bibliothèques publiques et patrimoniales, d’un côté, universitaires et des hautes écoles, de l’autre, n’auront plus le même système de gestion. Pour les responsables des bibliothèques communales de La Chaux-de-Fonds et Neuchâtel, les usagers ne doivent pas être pénalisés.

11 janv. 2019, 16:01
Les usagers des bibliothèques – ici la BPU de Neuchâtel – devraient pouvoir bénéficier des mêmes prestations à partir de 2021, malgré l'apparition de deux nouveaux systèmes de gestion.

Les 70’000 lecteurs du Réseau des bibliothèques neuchâteloises et jurassiennes devront s’y faire. Alors qu’ils disposent aujourd’hui d’un catalogue de recherche numérique enrichi par 62 institutions, celui-ci sera vidé de sa substance scientifique, comme le dit Thierry Châtelain, directeur de la Bibliothèque publique et universitaire de Neuchâtel, la BPUN.

Révolution? Mutation technologique et institutionnelle, nuance-t-on. En 2021, le réseau romand Rero mettra à disposition de ses clients un nouveau système de gestion de leurs collections, de leurs abonnés et des transactions de prêt, autour d’un catalogue collectif.

Sans l’Uni ni les hautes écoles

Ce système ne sera pas destiné aux bibliothèques universitaires et aux hautes écoles. Elles quitteront le réseau pour rejoindre une société qui les regroupera sur le plan national, Swiss Library Service Platform (SLSP). Celle-ci vient d’acquérir un nouveau système de gestion. Il devrait être opérationnel à fin 2020.

Ainsi, l’Université de Neuchâtel, la Haute Ecole Arc et...

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