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Bernasconi, sa vie, son gros œuvre

A 63 ans, le roi du béton lâche l’entreprise familiale. Sylvio Bernasconi confie avoir changé. «J’ai découvert qu’il n’y a pas que le travail.»

21 avr. 2016, 01:36
Sylvio Bernasconi
Les Geneveys-sur-Coffrane, 05.04. 2016
Photo © David Marchon

Une page s’est tournée au sein de l’entreprise de construction F. Bernasconi et Cie, qui emploie près de 300 personnes. A 63 ans, après avoir cédé l’essentiel des actions de son entreprise, Sylvio Bernasconi se retire de la direction générale.

Petit-fils de Félix Bernasconi, créateur de l’entreprise en 1938, il était président-directeur-général depuis 1997. Sous sa direction, le groupe réalise tous les gros chantiers du canton: hôpital Pourtalès, stade de la Maladière, centre commercial de Marin, bâtiments Celgene, mais aussi des ponts, des routes et des autoroutes et des bâtiments ailleurs en Romandie.

Connu des Neuchâtelois, et bien au-delà du monde de la construction, Sylvio Bernasconi a aussi été propriétaire de Neuchâtel Xamax entre juin 2005 et mai 2011, avant de vendre le club à Bulat Chagaev, qui le précipitera vers la faillite.

Il a accepté de recevoir «L’Express» et «L’Impartial», chez lui aux Geneveys-sur-Coffrane, pour revenir sur les bons...

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