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Alain Ribaux: «Je devais témoigner, c’est une obligation»

Ayant été appelé à témoigner dans le premier procès de l’avocat-entraîneur, le ministre de la justice Alain Ribaux voit son nom ressurgir avec la seconde affaire d’abus sexuels présumés sur de jeunes joueurs de foot. Il s’explique et évoque le rôle de l’Etat de Neuchâtel en matière de prévention.

27 févr. 2021, 10:43
Pour Alain Ribaux, une liste noire des entraîneurs inquiétés par la justice aurait un impact limité.

Pourquoi nous revenons sur cette affaire

L’enquête que mène «ArcInfo» depuis octobre 2020 sur ces accusations d’abus sexuels révèle un grand malaise dans le monde du foot neuchâtelois. Nous évoquons aujourd'hui la question de la protection des mineurs qui a été abordée lors de la session du Grand Conseil mercredi 24 février, à la suite de nos révélations.

Car il est possible d'agir autrement. En nous penchant sur les événements passés, nous souhaitons ouvrir ce débat qui dépasse le cadre de la justice: les instances sportives et professionnelles ont, elles aussi, un rôle à jouer.

Nous avons dû insister pour obtenir certaines réponses car personne ne souhaite voir son nom associé à celui du prévenu. Ces prises de parole sont pourtant nécessaires pour susciter une prise de conscience publique concernant ces abus.

Alain Ribaux, votre nom ressurgit dans cette nouvelle affaire, du fait que vous avez témoigné à la demande...

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