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A Berne, une agence de lobbying travaille pour l’Etat de Neuchâtel

Après le dossier de la route H20, place au projet de RER.

17 oct. 2016, 01:19
ARCHIV --- ZUR NICHT-EINSCHRAENKUNG DES BUNDESHAUS-ZUTRITTES FUER LOBBYISTEN STELLEN WIR IHNEN AM MONTAG, 24. SEPTEMBER 2012, FOLGENDES BILD ZUR VERFUEGUNG --- Lobbyisten stehen in der Wandelhalle des Bundeshauses, aufgenommen am 2. Dezember 2009 im Bundeshaus in Bern. (KEYSTONE/Peter Klaunzer) SCHWEIZ LOBBYISMUS BUNDESHAUS KEINE EINSCHRAENKUNG

Des dizaines de milliers de contacts en tous genres. C’est ce qui précède, désormais, toutes les grandes décisions prises à Berne par les Chambres fédérales. La faute à des dossiers toujours plus complexes. La faute, aussi, à un monstrueux réseau d’intérêts – convergents ou divergents – alimenté par des centaines d’acteurs. Parmi eux: l’Etat de Neuchâtel. Qui, pour défendre ses propres intérêts, «s’est mis à niveau» en faisant appel à une société spécialisée dans le réseautage et le lobbying.

2,3 milliards de francs

Se mettre à niveau? L’expression, tirée des propos du conseiller d’Etat Laurent Favre, trouve son origine dans la situation suivante: à l’heure actuelle, tous les cantons font du lobbying, soit par l’entremise d’une personne engagée en tant que telle pour agir à Berne, soit en faisant appel à une société spécialisée dans les relations publiques. Par rapport aux autres cantons, c’est donc bien une mise à niveau...

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