Une attaque au moyen d'armes chimiques, biologiques ou utilisant de l'uranium appauvri est également hautement improbable au cours de l'année qui vient, a ajouté Robert Cardillo, directeur adjoint du renseignement national.
Cardillo et d'autres responsables américains qui ont tenu à rester anonymes jugent qu'un an après la mort d'Oussama Ben Laden, le "noyau dur" d'Al Qaïda subit le contre-coup du "printemps arabe", qui a marginalisé selon eux les islamistes prônant la lutte armée.
La principale source de préoccupation actuelle du contre-terrorisme américain est un "loup solitaire", un extrémiste présent de longue date sur le sol américain qui pourrait se radicaliser grâce à internet ou au sein d'un petit groupe et éventuellement passer à l'acte.