Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Une conférence en demi-teinte, «lente et décevante»

Peu d’avancées lors de la Conférence sur le climat de Marrakech qui s’est achevée cette nuit.

19 nov. 2016, 01:13
U.N. climate chief Patricia Espinosa, 2nd left, and Morocco's Foreign Minister Salaheddine Mezouar, centre, celebrate after the proclamation of Marrakech, at the COP22 climate change conference, in Marrakech, Morocco, Thursday, Nov. 17, 2016. Governments meeting for U.N. climate talks have reiterated their commitment to the Paris Agreement with a proclamation saying climate action is "irreversible," the buzzword at the two-week conference after the uncertainty caused by the U.S. election. (AP Photo/Mosa'ab Elshamy) APTOPIX Morocco UN Climate Talks

Après les promesses, les travaux pratiques. Les délégués de 195 pays réunis à la Conférence internationale sur le climat (COP22) à Marrakech ont bûché (et buté) deux semaines durant sur les modalités d’application de l’accord de Paris scellé en décembre dernier.

En clair: trouver des solutions pour traduire sur le terrain les engagements pris dans l’accord sur le réchauffement climatique qui doit limiter à moins de 2°C la hausse des températures à la surface de la planète. Présentée comme la COP de l’action, elle n’a été qu’une COP de transition au goût d’inachevé.

Appel à la cohésion

«Cette conférence a été lente et décevante», balance Célia Gautier, responsable de la politique internationale à l’ONG Réseau Action Climat. «Les Etats doivent être plus volontaristes et ambitieux pour être à la hauteur de leurs responsabilités. Ils sont arrivés les mains presque vides et pas vraiment prêts à assumer leurs responsabilités.» Les...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias