Une centaine de factions rebelles syriennes ont accepté de respecter la trêve qui doit entrer en vigueur samedi. Mais le Front al-Nosra, lié à Al-Qaïda, a dénoncé une «tromperie de l’Occident», alors que les combats se poursuivaient à la veille de l’entrée en vigueur du cessez-le-feu.
Le Haut Conseil pour les négociations (HCN), qui rassemble des groupes clés de l’opposition et de la rébellion syrienne, s’est dit prêt à une trêve de deux semaines pour vérifier la bonne volonté du régime de Damas et de ses alliés russes et iraniens. Selon lui, «97 factions rebelles» sont d’accord pour respecter ce cessez-le-feu.
Le gouvernement syrien et ses alliés ne doivent pas utiliser cette trêve «pour continuer leurs activités hostiles contre les groupes de l’opposition sous prétexte de combattre le terrorisme», ajoute toutefois le HCN, soutenu par l’Arabie saoudite.
Lutte «implacable» contre les djihadistes
L’accord de «cessation des hostilités» devait entrer...