Le premier ministre français, François Fillon, a réaffirmé hier le refus de son pays d'accepter les migrants clandestins tunisiens qui arrivent en passant par l'Italie et l'île de Lampedusa. Et cela malgré les appels répétés de Rome à davantage de solidarité. / ats-afp
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Votre publicité ici avec IMPACT_medias