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Prêt à une «confrontation limitée» avec l’Iran

L’Etat hébreu a récemment mené des frappes en Irak afin d’empêcher le transfert d’armes iraniennes.

28 déc. 2019, 00:01
epa03475134 Smoke rise from a Hamas site after an Israeli air strike in the east of Gaza City, 17 November 2012. Reports state that Haneiya's office was destroyed early on 17 November 2012 in an Israeli air strike on Gaza City. Israel has put 75,000 reservists on standby amid speculation of an impending ground invasion.  EPA/MOHAMMED SABER MIDEAST CONFLICT GAZA

Une guerre entre Israël et l’Iran est-elle inéluctable? C’est la question que l’on peut légitimement se poser au vu des déclarations, cette semaine, du général Aviv Kochavi, le chef d’état-major de l’armée israélienne. Les «fronts» se multiplient entre les deux pays, ce qui accroît d’autant les dangers d’une déflagration générale. L’aviation, les drones, les missiles israéliens ne se contentent plus d’attaquer périodiquement, sans le reconnaître le plus souvent, des bases, des stocks et des convois d’armes des gardiens de la révolution iraniens ou des milices chiites proches de Téhéran en Syrie.

Ces dernières semaines, la confrontation s’est étendue à l’Irak, comme l’a reconnu pour la première fois le général Kochavi. Selon lui, l’Iran profite de l’agitation qui règne en Irak pour faire passer en Syrie des armes sophistiquées, notamment des missiles destinés à ses «conseillers militaires» dans ce pays, à ses alliés ainsi qu’au Hezbollah libanais. Résultat: selon des...

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