Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Pour l’Espagnol Sanchez, arriver en tête ne suffira pas

Le parti du premier ministre socialiste est donné gagnant demain.

27 avr. 2019, 00:01
epa07530406 Spanish Prime Minister and Secretary-General of Spanish Socialist Worker's Party (PSOE), Pedro Sanchez, delivers his speech greets supporters during an political rally in Toledo, Spain 26 April 2019. Spain holds general elections on 29 April.  EPA/Ismael Herrero SPAIN ELECTIONS

Il y a onze mois, l’Espagne était gouvernée par le Parti populaire (PP, droite) de Mariano Rajoy, qui venait de faire approuver son budget. Le leader de l’opposition, Pedro Sanchez, devait encore assurer son emprise sur le Parti socialiste (PSOE), reconquis au terme de primaires fratricides. Les sondages voyaient en Ciudadanos (C’s, centre droit libéral) le parti préféré des Espagnols et n’avaient rien à dire ou si peu sur Vox (extrême droite). Podemos (gauche radicale), de son côté, disputait au PSOE le rôle de premier opposant du royaume.

Moins d’un an plus tard, alors que 37 millions d’électeurs sont appelés, ce dimanche, à renouveler les deux Chambres du Parlement, les cartes ont été totalement rebattues. Pedro Sanchez est arrivé à la tête du gouvernement en remportant une motion de censure, une première dans l’histoire du pays. Il réclame un vote massif pour le PSOE, afin d’éviter «le risque réel...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias