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Mexique: plus de sept femmes assassinées par jour en moyenne en 2016

En 2016, au Mexique, 2746 femmes ont été assassinées, ce qui représente une moyenne de plus de sept meurtres par jour, selon une étude publiée par l'ONU et le gouvernement mexicain.

14 déc. 2017, 06:44
L'Etat de Mexico, voisin de la capitale, est le plus dangereux pour les femmes avec 421 assassinats en 2016.

L'Etat de Mexico, voisin de la capitale, est le plus dangereux pour les femmes avec 421 assassinats en 2016.

L'Etat de Mexico, voisin de la capitale, est le plus dangereux pour les femmes avec 421 assassinats en 2016.

L'Etat de Mexico, voisin de la capitale, est le plus dangereux pour les femmes avec 421 assassinats en 2016.

L'Etat de Mexico, voisin de la capitale, est le plus dangereux pour les femmes avec 421 assassinats en 2016.

L'Etat de Mexico est le plus dangereux et compte à lui seul 421 assassinats en 2016.

Au Mexique, 2746 femmes ont été assassinées en 2016, ce qui représente une moyenne de plus de sept meurtres par jour, selon une étude publiée mercredi par l'ONU et le gouvernement mexicain. Ce chiffre est en augmentation de 18% par rapport à l'année 2015.

"Cette hausse est importante non seulement en raison de son ampleur, mais aussi parce qu'elle rompt avec la tendance à la baisse observée au cours des années précédentes", indiquent les auteurs de l'étude, qui ont analysé les violences envers les femmes sur la période 1985-2016.

Cinq Etats du Mexique ont enregistré à eux seuls 40,2% des cas l'an dernier: l'Etat de Mexico (centre), celui du Guerrero (sud), celui de Chihuahua (nord), celui de Veracruz (est) et la ville de Mexico. L'Etat de Mexico, voisin de la capitale, est le plus dangereux pour les femmes avec 421 assassinats en 2016.

Méthodes "plus cruelles"

L'étude précise que "la moitié des victimes avaient entre 15 et 35 ans". A la différence des crimes visant des hommes, les meurtres envers les femmes se caractérisent par des méthodes "plus cruelles", telles que l'usage d'armes blanches ou l'asphyxie.

Cela indique "que les standards culturels qui dévalorisent les femmes et les font percevoir comme jetables n'ont pas changé" analyse le rapport.

"La violence envers les femmes et les petites filles, qui peut s'avérer mortelle, est perpétrée le plus souvent pour maintenir et reproduire l'obéissance et la subordination dans des relations de pouvoir", explique le document.

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