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Les Vingt-Sept font machine avant

Ils mettent les points sur les i, vis-à-vis de Londres, et engagent une «réflexion politique» sur l’avenir de l’Union.

30 juin 2016, 01:04
epa05397271 (L-R, front) Polish Prime Minister Beata Szydlo, German Chancellor Angela Merkel and Greek Prime Minister Alexis Tsipras at the start of the second day of the European Council meeting in Brussels, Belgium, 29 June 2016. EU leaders met on 28 June for the first time since the British referendum, in which 51.9 percent voted to leave the European Union.  EPA/PASCAL ROSSIGNOL / POOL BELGIUM EUROPEAN COUNCIL MEETING BRITAIN BREXIT

Bruxelles

Tanguy Verhoosel

Après avoir pris congé du premier ministre britannique, David Cameron, les leaders des autres pays de l’UE se sont retrouvés à vingt-sept, hier, afin de débattre entre eux du Brexit – ils ne feront pas de cadeau à Londres – et de l’avenir de la construction européenne – un thème qui les divise. Parallèlement, la première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, a lancé une offensive diplomatique à Bruxelles.

«Face à un royaume désuni, on a plus que jamais besoin d’une Europe unie», a commenté le premier ministre luxembourgeois, en se rendant au sommet «informel» des Vingt-Sept. Ils doivent afficher «leur volonté de dégager une stratégie pour un renouveau du projet européen», a ajouté son homologue belge, Charles Michel.

Le moins bureaucratique

La volonté de réconcilier l’Europe avec ses citoyens, désabusés, existe. La stratégie, pour y parvenir, pas encore.

«Les Européens attendent davantage de...

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