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Les Occidentaux essayent de souder l'opposition syrienne

La principale composante de la rébellion refuse de participer à une nouvelle conférence de paix à Genève. Menaces de scission.

22 oct. 2013, 00:01
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La tenue d'une conférence de paix sur la Syrie apparaît plus que jamais suspendue à la participation de l'opposition à Bachar el-Assad, toujours minée par ses divisions. Les pressions se sont accrues ces derniers jours sur les principaux dirigeants politiques de la rébellion pour les convaincre de prendre le chemin de Genève 2, dont l'échéance incertaine a néanmoins été fixée au mois de novembre.

Ces incitations sont appuyées par ceux qui, habituellement, "parlent" à l'opposition, les diplomates américains, français et arabes en premier lieu. Dans cette perspective, John Kerry devait rencontrer, hier à Paris, des représentants des pays arabes, avant de se rendre à Londres, aujourd'hui, où les "Amis de la Syrie", soit onze pays formant un "front anti-Bachar el-Assad", rencontreront l'opposition syrienne. Dans le même temps, Lakhdar Brahimi, l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe, poursuivait en Irak, après l'Egypte, une tournée au Moyen-Orient. Une conférence n'est pas...

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