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Le Congrès national africain «finalise» le départ de Zuma

Accusé de corruption, le président s’accroche au pouvoir.

13 févr. 2018, 00:01
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L’ultime attaque contre Jacob Zuma est lancée. Après des semaines de luttes, de négociations âpres, le président sud-africain devait «finaliser», hier, ses conditions de démission, plus d’un an avant la fin officielle de son mandat. Le vice-président, Cyril Ramaphosa, lui succédera, avant sans doute d’affronter les urnes en 2019.

La mort politique de Zuma a été étudiée, durant toute la journée d’hier, dans les salons d’un hôtel de Pretoria, lors d’une réunion du Conseil national exécutif du Congrès national africain (ANC). Les 107 plus hauts cadres du parti au pouvoir menaçaient d’user de leur possibilité de démettre le président, sachant tout de même que ce dernier pouvait opposer un refus. Et c’est là que se niche la difficulté, et c’est pourquoi personne ne s’avançait encore pour prédire le départ de Zuma.

Hallali sonné en décembre

En 2008, le poli Thabo Mbeki, lui aussi démis par le Conseil, avait accepté...

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