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La gardienne des valeurs de l’Occident

Le président américain Barack Obama s’est rendu en Allemagne pour rencontrer «son amie» Angela Merkel. Les autres dirigeants du continent sont réduits au rôle de figurants.

18 nov. 2016, 01:07
U.S. President Barack Obama, left, is welcomed by German Chancellor Angela Merkel prior to a meeting in the chancellery in Berlin, Germany, Thursday, Nov. 17, 2016. Germany is the last European stop of Obama's final tour abroad as U.S. president. (AP Photo/Michael Sohn) Germany US Obama

Barack Obama ne cache pas ses préférences: il a choisi Angela Merkel. «Si j’étais allemand et si je pouvais voter ici, alors je la soutiendrais», dit-il. Mais le président américain garde le sens de l’ironie, une semaine après la défaite des démocrates aux Etats-Unis à l’élection présidentielle. «Je ne sais pas si cela l’aide ou la pénalise», sourit-il. Pour sa tournée d’adieux aux Européens, Barack Obama a décidé de se rendre à Berlin, chez «son amie» Angela Merkel.

C’est un symbole. Lors de leur conférence de presse, hier, l’un et l’autre ont été interrogés sur leur relation de huit années. «La chancelière a été une partenaire extraordinaire», insiste Barack Obama en «refusant» toutefois de s’immiscer davantage dans la vie politique allemande. La chancelière Merkel n’a pas encore fait part de ses intentions pour les élections de 2017. Mais, pour beaucoup, la victoire de Donald Trump a changé...

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