Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

La Confédération se retrouve face à plusieurs scénarios

Avec la fermeture de la route balkanique, la Suisse va-t-elle se retrouver sur des routes migratoires alternatives? Tout porte à le croire.

30 mars 2016, 00:16
epa05233604 Refugees and migrants blocking the highway to the border crossing of Evzoni during a protest demanding the opening of the borders near the Greek - Macedonian border in northern Greece on 28 March 2016. Migration restrictions along the so-called Balkan route, the main path for migrants and refugees from the Middle East into the European Union, has left thousands of migrants trapped in Greece.  EPA/GEORGI LICOVSKI GREECE REFUGEE MIGRATION CRISIS

D’abord, les nouveaux facteurs: une route migratoire fermée dans les Balkans, un accord qui permet à l’Union européenne de renvoyer en Turquie les migrants ayant réussi à débarquer en Grèce, et un retour aux températures plus clémentes favorables à prendre tous les risques en mer... Et cette question: la Suisse pourra-t-elle se préserver, grâce à l’accord, ou se retrouvera-t-elle sur des routes alternatives migratoires?

«Différentes voies restent possibles, dont l’Italie», concède Céline Kohlprath, porte-parole du Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM). «Mais de nombreuses questions restent ouvertes, comme celle de savoir si nous laissons passer les migrants vers les pays du Nord ou non. Ces discussions sont en cours dans le cadre d’un plan prévisionnel, en concertation avec la Confédération, les cantons et les communes.»

Même situation qu’en 2015 pour la Confédération

Les dispositions de ce plan, qui tiendra compte des différents scénarios, seront dévoilées à la presse le 14...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias