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L’imbroglio politique continue

Martin Schulz a renoncé au poste de ministre des Affaires étrangères.

10 févr. 2018, 00:01
In this Wednesday, Feb. 7, 2018 photo Martin Schulz, chairman of the Social Democratic Party, SPD, scratches his head during a press statement in Berlin. Martin Schulz, the leader of Germany’s center-left Social Democrats, said Friday  Feb. 9, 2018 he’s giving up on plans to become the country’s foreign minister amid turbulence in his party following a coalition deal with Chancellor Angela Merkel’s conservatives. (AP Photo/Ferdinand Ostrop) Germany Coalition Talks

Pas encore en place, le futur gouvernement d’Angela Merkel est déjà critiqué de toutes parts. Dernier épisode en date, il a perdu, hier, son chef de la diplomatie désigné, le social-démocrate Martin Schulz, affaibli par ses volte-face.La chute aura été brutale pour l’ancien président du Parlement européen. Mis en cause pour avoir revendiqué le poste de ministre après avoir promis, fin 2017, qu’il ne rentrerait jamais dans un gouvernement de la chancelière conservatrice, Martin Schulz a finalement renoncé à devenir ministre des Affaires étrangères, sous le feu des critiques. Sa crainte: que les nombreux opposants au sein de son parti à l’accord de coalition négocié cette semaine au forceps avec la chancelière allemande ne fassent capoter l’alliance.Les militants du parti social-démocrate (SPD) sont en effet appelés en interne à voter sur le texte du 20 février au 2 mars. «Les débats autour de ma personne menacent le succès du vote....

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