Pas de cris ni de sang qui coule. L’impact qu’un mot mal intentionné peut avoir est invisible mais les dégâts psychologiques sur la personne visée peuvent être dramatiques.
C’est ce que rappelle l’agence italienne Armando Testa dans sa dernière campagne intitulée "Words can kill". "Nigger" (nègre); "Terrorist" (terroriste); "Thief" (voleur); "Fatty" (lourdeau): quatre mots qui véhiculent des clichés terribles. Des mots que l’on reçoit comme des uppercuts et peuvent mettre ko les plus fragiles.
Cette campagne s’adresse à chacun de nous et particulièrement aux jeunes qui s’expriment souvent "sans filtre", particulièrement sur les réseaux sociaux. Leur faire prendre conscience de la portée de certaines paroles et de leurs conséquences parfois tragiques.
