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Etats-Unis: Trump veut changer la tradition de la fête nationale américaine et prononcer un discours

Trump a annoncé veut créer l'évènement lors de la fête nationale américaine le 4 juillet et créer un rassemblement hors du commun à Washington. Il souhaite également prononcer un discours devant les milliers de participants, ce qui ne se fait d'ordinaire pas.

24 févr. 2019, 19:20
Donald Trump a annoncé qu'il souhaite changer les traditions du 4 juillet, jour de la fête d'indépendance américaine, et prononcer un discours lors de l'évènement.

Après avoir abandonné l'an dernier son idée de défilé militaire, Donald Trump a annoncé dimanche que "l'un des plus grands rassemblements de l'histoire de Washington" se tiendra le 4 juillet, à l'occasion de la fête nationale américaine.

"Cela s'appellera 'Un salut à l'Amérique'", a-t-il annoncé sur Twitter. "De grands feux d'artifice, des divertissements et un discours par votre président favori, moi!" a-t-il annoncé.

 

 

Le 4 juillet commémore la déclaration d'indépendance américaine en 1776. Chaque année, des dizaines de milliers de personnes se rassemblent dans une ambiance bon enfant, avec pique-nique et couvertures, sur les immenses pelouses du National Mall, dans le centre de Washington, pour assister à un feu d'artifice.

Mais d'ordinaire, le président ne prononce pas de discours. La Maison Blanche se situe au bord du National Mall.

Au mémorial de Lincoln

Donald Trump a tweeté que l'événement qu'il veut créer aura lieu au mémorial Abraham Lincoln, l'un des sites d'où les foules assistent au feu d'artifice chaque année.

Le monument, avec ses grandes marches surplombant un long bassin rectangulaire, accueille régulièrement des discours ou des concerts, comme lors de l'investiture présidentielle. C'est depuis les marches de ce mémorial que Martin Luther King avait prononcé en 1963 son célèbre discours "I have a dream", devant 250'000 personnes.

Donald Trump caressait l'idée d'un défilé militaire à Washington le 4 juillet ou le 11 novembre, sur le modèle du 14 Juillet français sur les Champs Elysées. Mais il avait renoncé en août après une polémique sur le coût et la résistance des autorités municipales. "Peut-être ferons-nous quelque chose l'année prochaine à Washington quand le prix aura nettement baissé", avait-il alors tweeté.

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