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Donald Trump propose d’armer les professeurs

La fusillade de Parkland a relancé le débat sur les armes à feu. La mobilisation des survivants semble toutefois donner une dimension supplémentaire aux discussions.

23 févr. 2018, 00:01
epa06551639 Marjory Stoneman Douglas High School shooting survivor Samuel Zeif (L) cries after delivering remarks as US President Donald J. Trump listens during a listening session with high school students and teachers in the State Dining Room of the White House in Washington, DC, USA, 21 February 2018. Families from the Parkland, Newtown and Columbine communities attended the meeting.  EPA/SHAWN THEW USA TRUMP GUN CONTROL

«Honte à vous». Le cri d’Emma Gonzalez, dénonçant les liens entre responsables politiques et le puissant lobby des armes (la NRA), et les discours passionnés de plusieurs de ses camarades viennent mettre en porte-à-faux des élus américains. La classe politique se voit aujourd’hui contrainte de jouer une bien délicate partition devant ces lycéens rescapés de la fusillade de Parkland, devenus en l’espace de quelques jours les porte-drapeaux du mouvement anti-armes.

Ces adolescents ont investi mercredi la petite capitale de la Floride, Tallahassee, pour tenter d’arracher un durcissement de la législation sur les armes aux élus de Floride au son de «Plus jamais ça», mot d’ordre répercuté sur les réseaux sociaux.

Des armes dissimulées

La National Rifle Association (NRA) a bien saisi le danger. Elle qui fait habituellement profil bas après les drames impliquant des armes à feu, dénonce désormais une «politisation honteuse». «Le but [des militants anti-armes] est d’éliminer...

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