Washington
LAURE MANDEVILLE
Autour de Donald Trump, les femmes ont toujours été belles. Ses camarades de l’Académie militaire de New York, une école de garçons austère où son père l’avait envoyé pour le mater, se souviennent des jeunes beautés qui débarquaient pour le voir, le week-end. Donald avait même été baptisé «l’homme de ces dames». Une réputation qui se conforterait après son retour dans la Grande Pomme et son entrée dans le monde clinquant des people new-yorkais. Les femmes ont toujours été «mon point faible», a d’ailleurs confié l’homme d’affaires, deux fois divorcé et trois fois marié, au journaliste Michael D’Antonio.
Mais les femmes pourraient-elles devenir la faille dans l’armure du milliardaire de l’immobilier en marche vers la présidence? C’est ce qu’espère la campagne de la démocrate Hillary Clinton, qui fourbit ses armes dans l’espoir d’exploiter les sentiments négatifs que susciterait Donald Trump dans 70% de l’électorat féminin, si l’on...