Cinq jours avant le début officiel du sommet du G7, qui se tiendra du 24 au 26 août à Biarritz, les «anti-sommet» sont déjà sur le pont. Ce lundi, les premiers protestataires ont commencé à prendre leurs quartiers sur le terrain d’un ancien centre de vacances à Urrugne (France), avant le début de leur «sommet des alternatives» qui se tiendra du 21 au 23 août à cheval sur la frontière franco-espagnole, à Hendaye (France) et Irun (Espagne). Le 24, premier jour du «vrai» sommet, les «anti-G7» prévoient une grande manifestation, autorisée par le préfet.
Ces anti-G7 regroupent deux plateformes: G7 Ez, implantée des deux côtés de la frontière, et Alternatives G7, qui réunit des organisations d’envergure nationale et internationale. «Certaines de ces organisations ont un pied dans le sommet officiel, parce qu’il faut garder le contact avec ces gouvernements pour faire avancer des propositions, même si c’est à la virgule...