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Berlin au chevet de la Libye

La conférence de Berlin appelle à renforcer l’embargo sur les armes. Les participants se sont engagés à mettre fin aux «interférences» étrangères dans le conflit libyen.

20 janv. 2020, 00:01
Turkish President Recep Tayyip Erdogan, right, speaks with Russian President Vladimir Putin during the conference on Libya at the Chancellery in Berlin, Sunday, Jan. 19, 2020. German Chancellor Angela Merkel hosts the one-day conference of world powers in Berlin to discuss efforts to broker peace in Libya.(Turkish Presidency Press Service via AP, Pool) Germany Libya Conference

La paix ou un fiasco… Lors de l’ouverture de la conférence de Berlin sur la Libye, hier à 14h30, l’issue des négociations semblait des plus incertaines. Au terme de la réunion, Angela Merkel, la chancelière allemande, a voulu saluer «une nouvelle impulsion». Les participants, a-t-elle indiqué, sont tombés d’accord pour réclamer «un cessez-le-feu permanent» et renforcer l’embargo sur les armes.

Selon le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, ils ont promis de renoncer à toute «interférence» étrangère dans le conflit. «Tous les participants souhaitent une solution politique au conflit», a conclu la chancelière. Mais le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a souligné qu’«il n’y a toujours pas de dialogue sérieux entre les belligérants».

Pas de belligérants à table

Plus tôt dans la journée, onze chefs d’État et de gouvernement ainsi que les représentants de quatre institutions internationales dont l’ONU et l’Union européenne, avaient pris place autour de...

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