La paix ou un fiasco… Lors de l’ouverture de la conférence de Berlin sur la Libye, hier à 14h30, l’issue des négociations semblait des plus incertaines. Au terme de la réunion, Angela Merkel, la chancelière allemande, a voulu saluer «une nouvelle impulsion». Les participants, a-t-elle indiqué, sont tombés d’accord pour réclamer «un cessez-le-feu permanent» et renforcer l’embargo sur les armes.
Selon le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, ils ont promis de renoncer à toute «interférence» étrangère dans le conflit. «Tous les participants souhaitent une solution politique au conflit», a conclu la chancelière. Mais le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a souligné qu’«il n’y a toujours pas de dialogue sérieux entre les belligérants».
Pas de belligérants à table
Plus tôt dans la journée, onze chefs d’État et de gouvernement ainsi que les représentants de quatre institutions internationales dont l’ONU et l’Union européenne, avaient pris place autour de...