José Manuel Barroso, seul candidat à sa succession à la tête de la Commission européenne, a passé hier à Strasbourg un premier grand oral face au Parlement européen. Ce dernier votera à l'automne son éventuelle reconduction. Le conservateur portugais a notamment défendu son bilan face à ceux qui l'accusent d'avoir réagi tardivement à la crise, de changer d'avis au gré des modes ou de se laisser dicter sa conduite par les grands Etats. /ats-afp
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