La Birmanie a continué d'ignorer hier les appels de la communauté internationale pour la libération de l'opposante Aung San Suu Kyi. La cour suprême a confirmé sa condamnation à 18 mois d'assignation à résidence alors que se profilent les premières élections dans le pays depuis 20 ans. Les avocats d'Aung San Suu Kyi (photo) peuvent encore poursuivre la procédure avec un appel au président de la plus haute institution judiciaire. /ats-afp-reuters
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