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Après l'Océanie, l'Asie et l'Europe, l'Amérique passe à 2018

Les premiers Américains à franchir le passage vers l'an 2018 ont été les habitants de Rio de Janeiro, sur la mythique plage de Copacabana. Trois heures plus tard, les New-Yorkais célébraient la nouvelle année

01 janv. 2018, 10:02
Les New Yorkais ont affronté un froid glacial sur Times Square.

Après l'Océanie, l'Asie et l'Europe, l'Amérique a commencé dimanche à minuit à basculer en 2018. Les habitants de Rio de Janeiro ont été dans les premiers du continent à célébrer la nouvelle année. Ils ont été suivis trois heures plus tard par les New Yorkais.

Par une température de -12 degrés Celsius, une foule immense a défié le froid polaire qui s'est abattu sur le nord des Etats-Unis pour venir assister à la traditionnelle descente de la boule du Nouvel An sur Times Square, à New York.

 

 

Quelque deux millions de personnes étaient attendues à minuit autour de la place emblématique du centre de Manhattan. La présence policière avait été renforcée dans ce haut lieu touristique près duquel un attentat a été commis il y a trois semaines. La police avait mis en place un périmètre de sécurité le plus grand jamais développé à Time Square où aucun sac ni même portefeuille n'est toléré.

Plus au sud, à Rio de Janeiro, au Brésil, ils étaient près de trois millions, la plupart habillés tout en blanc comme le veut la tradition, à assister au feu d'artifice sur la plage de Copacabana.

 

>> Lire aussi: Nouvel An: le monde célèbre l'arrivée de 2018

 

Spectacle à l'Arc de triomphe

A Paris, plusieurs centaines de milliers de personnes se sont réunies sur les Champs-Élysées pour "enterrer 2017" et célébrer la nouvelle année sous haute sécurité policière.

Après le compte à rebours, l'arc de triomphe s'est embrasé du traditionnel feu d'artifice. Plusieurs dizaines de milliers de spectateurs, dont des touristes du monde entier, avaient auparavant assisté, émerveillés, à un spectacle son et lumière projeté sur le célèbre monument.

Pour accéder à la zone des festivités, les spectateurs étaient soumis à des fouilles, et 1800 membres des forces de l'ordre et des agents privés étaient mobilisés sur la célèbre avenue.

 

 

A Londres, plus de 100'000 personnes se sont procuré un billet pour assister au feu d'artifice depuis les rives de la Tamise. Pour respecter la tradition, Big Ben a sonné les douze coups de minuit. Mais cette année, il a fallu relancer l'horloge, à l'arrêt pour travaux.

Bien que la capitale britannique ait été la cible de quatre attentats en 2017, Scotland Yard a indiqué avoir mobilisé moins de policiers que l'an dernier.

A Moscou, les principaux boulevards et places étaient décorés et un feu d'artifice a illuminé 36 bâtiments de la capitale russe.

En Allemagne, les organisateurs de la grande fête de la Saint-Sylvestre à la porte de Brandebourg avaient prévu, dans des tentes médicales de la Croix-Rouge, des emplacements spécifiques pour la prise en charge de femmes victimes de harcèlement sexuel ou se sentant menacées.

La fête était placée sous surveillance maximale en Turquie, hantée par le souvenir du tragique Nouvel An 2017, où un attentat avait fait 39 morts dans la plus célèbre discothèque d'Istanbul, le Reina.

Les autorités turques ont d'ailleurs interdit les rassemblements sur l'emblématique place Taksim d'Istanbul et dans d'autres quartiers animés.

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