Il y a tout juste 20 ans, un certain David Heyman recevait dans son bureau une copie du livre «Harry Potter à l’école des sorciers», premier opus de la saga imaginée par J.K. Rowling. Rangé dans l’attente d’une lecture que le producteur de cinéma ne jugeait pas prioritaire, l’ouvrage a été redécouvert par une secrétaire. Ce sont les conseils de cette dernière qui ont convaincu Heyman de passer outre le «titre pourri» du livre, selon son expression. Impressionné par le potentiel de l’intrigue, le fin renard a finalement décidé de l’adapter au grand écran. On connaît la suite: triomphe mondial des épisodes tournés en une décennie (récemment rediffusés par la RTS), multiplication des jeux vidéo et autres produits dérivés.
La fantaisie visuelle des films ne pouvait qu’inspirer les parcs d’attractions, toujours en quête de nouvelles déclinaisons «magiques».
Doublé gagnant
En 2010, une première zone dédiée au jeune sorcier ouvrait ses...