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Pegasus: «Il est peu probable que des Suisses fassent partie de la liste»

Les révélations se multiplient depuis l’éclatement du scandale touchant de nombreuses personnalités. L’expert en cybersécurité Steven Meyer nous explique le fonctionnement du logiciel espion conçu par la société israélienne NSO.

23 juil. 2021, 00:01
/ Màj. le 23 juil. 2021 à 06:39
Créé à la base pour surveiller des terroristes ou criminels, le logiciel Pegasus aurait été utilisé pour surveiller des politiciens, journalistes ou opposants. Alain Berset aurait été épargné.

Déjà critiqué par le passé, le logiciel espion Pegasus, conçu par la société technologique israélienne NSO, est à nouveau au centre d’un scandale international. Depuis dimanche, un consortium international de journalistes dévoile les noms de victimes de cette société après qu’Amnesty International et le site français Forbidden Stories ont mis la main sur une liste comprenant 50 000 numéros de téléphone de plusieurs pays (mais apparemment pas la Suisse) potentiellement infectés par ce logiciel. Explications d’un expert en cybersécurité, Steven Meyer, directeur de Zendata à Genève.

A lire aussi : Affaire Pegasus: le «côté obscur» de la technologie israélienne

Steven Meyer, comment fonctionne un logiciel espion tel que Pegasus?

Le logiciel Pegasus fonctionne en plusieurs étapes. L’installation du logiciel espion se fait soit par le biais d’un clic direct sur un lien apparaissant à l’écran du smartphone, soit par une attaque dite «zéro clic». Celle-ci ne demandant aucune...

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