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Une séquelle spectaculaire mais peu goûteuse

06 juin 2018, 00:01
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En 1993, Steven Spielberg inaugurait son «Jurassic Park». Vingt-cinq ans plus tard, les diplodocus ont toujours la cote à Hollywood, comme en témoigne cette cinquième mouture. Toujours librement adaptée de l’œuvre de l’écrivain Michael Crichton, la contribution de l’Ibère Juan Antonio García Bayona situe son action trois ans après la fermeture du parc à thème, à la suite d’un «gros incident».

SOS dinos

Sur l’île abritant l’ex-Jurassic World, un volcan entre en éruption et menace les dinosaures livrés à eux-mêmes. Une équipe financée par le richissime Lockwood y est dépêchée pour tenter de récupérer les bestioles en danger, dans l’idée de les transférer sur une autre île, afin d’éviter leur (re)disparition. Se vouant à cette opération de sauvetage plutôt massive, la professeure Claire Dearing (Bryce Dallas Howard) et Owen Grady (Chris Pratt), dompteur émérite de vélociraptors, se font doubler par Lockwood (James Cromwell) qui rapatrie les dinosaures fissa en Angleterre,...

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