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Une gare pour un dernier voyage

Le compositeur neuchâtelois Louis Crelier s’est associé à Pierre Christin et Enki Bilal pour prendre d’assaut «La citadelle de verre». Un opéra créé au temple du Bas.

14 avr. 2018, 00:01
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Louis Crelier, Pierre Christin, Enki Bilal. L’attelage ne manque assurément pas de panache! Il nous emportera au cœur de «La citadelle de verre», un opéra crépusculaire qui, espèrent ses auteurs, créera l’événement la semaine prochaine au temple du Bas.

«L’opéra, c’est la plus belle manière de raconter une histoire en musique!» Louis Crelier disposait déjà d’un riche bagage quand il a ressenti l’envie de se lancer dans l’exercice. Réputé pour ses musiques de film, le compositeur neuchâtelois s’est, en outre, frotté aux exigences de la scène durant plusieurs années, notamment au sein du Théâtre populaire romand (TPR). «Cet opéra est le prolongement logique de mon travail», déduit-il.

Qui dit opéra dit partition musicale, bien sûr. Et livret, tout aussi indispensable. Mis sur la piste de Christin, Louis Crelier a obtenu un premier synopsis il y a plus de dix ans. Plusieurs versions, dont la dernière retravaillée par l’auteure Valérie...

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