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Trio austro-allemand et quartet germano-suisse aux Murs du son

The True Harry Nulz balance des airsde jazz du 22e siècle pour prouver que le jazz aussi peut cogner.

25 janv. 2018, 00:01
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Ils étaient faits pour se rencontrer. A ma droite un trio austro-allemand, clarinette basse, guitare, batterie, pas de basse. A ma gauche un quartet germano-suisse, clarinette basse, guitare, batterie… et basse. Edi Nulz et The Great Harry Hillman, devenus The True Harry Nulz, ce vendredi aux Murs du son.

Médaillé aux Jeux de 1904

Nous savons tous que Harry Hillman fut un coureur de haie, triplement médaillé aux Jeux… de 1904. L’absence de rapport entre le nom et la musique du quartet est un bon exemple de cette approche très suisse – alémanique surtout, rappelez-vous Hildegard apprend à voler – qui mêle l’absurde et une musique très actuelle, souvent minutieusement structurée, avec de larges plages improvisées et des emprunts massifs au jazz et au rock le plus carré.

«Pure anarchie»

Même approche pour Edi Nulz, qui se décrit lui-même comme «Pure anarchie. Un trio de jazz sans basse, un groupe...

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