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"Surtout, ne pas altérer notre héritage"

Le mythique groupe d'Oxford, chef de file malgré lui au début des nineties du mouvement "shoegaze", s'est offert cet été un tour de piste dans les festivals, annonçant peut-être un "vrai" retour aux affaires

08 sept. 2015, 17:02
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Jean-François Albelda

On le sait, la musique est une affaire de cycles. Ces bonnes vieilles quatre mesures qu'on décline et qu'on empile pour faire une bonne "pop song", le séminale "12 bars blues", les revivals qui se suivent et se ressemblent dans leurs mécanismes. Les ados d'hier se sont installés dans leur vie d'adulte et veulent revivre le frisson de leurs samedis soirs de débauche rock'n'roll... Rien de plus naturel... Après les seventies et les eighties, c'est au tour des années "indie" ¬ les nineties ¬ de tenir la corde de la nostalgie. Mais la nostalgie n'est pas forcément passéiste et la reformation du quatuor d'Oxford Ride est plutôt vitalisante pour la scène rock, tout comme le retour de My Bloody Valentine ou Slowdive. Interview de Steve Queralt, qui n'avait plus touché sa basse depuis une quinzaine d'années quand le téléphone a sonné...

Vous vous êtes reformés après un break...

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