Chaque année ou presque, le petit écran nous ressert une fournée de doubitchous entre deux bouchées de bûche de Noël. Et le pire, c’est qu’on en raffole!
Cette immonde spécialité, certifiée faite main et roulée sous les aisselles, a tout d’abord été confectionnée en 1979 au Splendid, café-théâtre où la troupe du même nom déposa la hotte iconoclaste du «Père Noël est une ordure». Puis, forte de son succès et sous la houlette du même producteur, cette pièce s’engouffre dans le sillage d’«Amour, coquillages et crustacés», autre création collective adaptée au cinéma sous le titre «Les bronzés». Cette fois-ci, Jean-Marie Poiré est l’élu qui non seulement tient la caméra, mais remodèle aussi le scénario avec l’aval de Josiane Balasko, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte et Bruno Moynot.
À tour de rôle
Immortalisés sur la pellicule, les personnages du «Père Noël» n’ont pas toujours eu le même visage...