«Samuel Blaser, sans doute le jazzman neuchâtelois le plus connu sur le plan international avec son aîné et complice Pierre Favre.» Lu dans la «Nouvelle Revue neuchâteloise», dans son dernier ouvrage consacré au jazz (notre édition du 22 octobre).
Mercredi 31 octobre, Samuel Blaser sera à la maison, à La Chaux-de-Fonds, plus précisément au Temple allemand où il jouera avec son quartet régulier et un invité de marque, l’altiste Oliver Lake. Tout ceci mérite bien une interview, joyeuse, avec le plus célèbre tromboniste du Haut.
Samuel Blaser, si votre nom est bien connu ici, peut-être l’est-il un peu moins ailleurs. Racontez-nous, comment êtes-vous passé de La Chaux-de-Fonds à Brooklyn et Berlin?
J’ai commencé le trombone tout jeune et le Conservatoire avec Jacques Henry. Vers mes 15 ans, j’ai joué avec le BEC (red: le bigband des étudiants du Conservatoire), avec les Moonraisers. Je voulais absolument aller à la Swiss...