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Quand Rosalie remplace Amélie

Le fils de Jean-Paul Rappeneau livre un joli conte gigogne.

03 juin 2016, 01:46
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Fils de Jean-Paul Rappeneau, un cinéaste toujours très en verve et spécialiste de la comédie, Julien Rappeneau a travaillé comme scénariste, notamment pour son père, avant de se lancer dans ce premier long-métrage en tant que réalisateur.

Adapté de la bande dessinée éponyme signée Camille Jourdy, dont le jeune Rappeneau a su conserver la simplicité linéaire et l’allure graphique, «Rosalie Blum» est un conte drôle et attachant.

Epicière à Nevers, Rosalie Blum (Noémie Lvovsky) mène une existence solitaire. Un jour, après l’avoir servi dans son échoppe, elle devient le centre des préoccupations de Vincent Machot (Kyan Khojandi), un coiffeur désabusé par l’existence qui, persuadé de l’avoir déjà rencontrée quelque part, se met à la suivre et à l’observer en cachette. Bien qu’adulte, Vincent habite toujours chez sa mère fofolle et bien trop envahissante (Anémone).

Pour démasquer son petit manège, Rosalie le fait suivre à son tour par sa nièce, Aude...

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