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Paris sous les bombes

A ses thématiques de balades – histoire, architecture, shopping –, la capitale ajoute désormais la culture urbaine.

01 sept. 2018, 00:01
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A Paris comme dans la plupart des métropoles contemporaines, les façades constituent un terrain de jeu idéal pour les gribouilleurs de tout acabit. Une bombe aérosol ne leur coûte que l’équivalent de 3 fr. Les moins inspirés se contentent d’une signature souvent énigmatique, presque toujours agressive au regard... et onéreuse pour les propriétaires soucieux d’entretenir leur bien.

D’autres adeptes du spray, plus doués, hissent le vulgaire tag au niveau du graffiti artistique. Quelques-uns – comme Ryan Bock – ont même acquis une renommée internationale. L’Américain a récemment exposé pour la première fois en Europe, dans une galerie de la rue Montmartre. Cet engouement pour le street art n’a pas échappé aux professionnels du tourisme. Ils y voient un argument supplémentaire pour attirer une clientèle de niche vers des cités où fleurissent ces manifestations colorées – et généralement éphémères – de la culture urbaine.

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« Errer est humain, flâner...

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