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Lyon et les maquettes magiques

Le Musée miniature & cinéma dévoile les secrets de Wes Anderson.

28 déc. 2015, 00:37
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La façade est rose bonbon. Bienvenue au Grand Budapest Hotel. La maquette trône à l’entrée de l’exposition. Elle pèse 250 kg, mesure 4×3 mètres. Quinze personnes se sont attelées à sa confection. L’effet est saisissant. On se croyait en Rhône-Alpes, on est en plein Zubrowka, ce pays inventé par Wes Anderson dans son dernier film en date, qui raconte l’histoire d’un palace perché sur une montagne à travers le destin de son concierge tiré à quatre épingles (l’impeccable Ralph Fiennes), avec sombre détournement d’héritage, rumeurs de guerre, descentes à ski, séjour en prison, vol de tableau et rebondissements de roman-feuilleton.

L’envers du décor

L’envers du décor se décline dans des vitrines. Le cinéma est affaire d’illusion. La neige est en sucre glace. Inutile d’essayer de réserver une chambre dans l’établissement. Le bâtiment n’existe pas, sauf dans l’imagination du réalisateur. L’univers d’Anderson a des couleurs particulières, une saveur inimitable. La magie...

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