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Les Murs du son cultivent le mélange des genres

Le club de jazz de la rue du Progrès mise sur la diversité des styles. Quelques bonnes surprises en perspective.

25 sept. 2018, 00:01
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Les Murs du son vont bien, merci pour eux. A l’aube de cette 19e saison, Philippe Cattin – fondateur et homme-orchestre de ce petit miracle qu’est un club de jazz contemporain dans une ville de 40 000 habitants –, Philippe Cattin donc est heureux: la saison 2017-18 a été excellente, la fréquentation augmente, le noyau des spectateurs s’élargit. Avec toujours la même recette, tous les styles qui tournent autour du jazz d’aujourd’hui, le public lui fait confiance et remplit même l’Heure bleue pour écouter d’illustres presque inconnus.

Lokomotiv en ouverture

Au programme de la saison, pas mal de trios, de tous les styles, pas mal de jazzwomen, dont deux trompettistes, des Suisses, des Portugais, des Canadiens, des Français, un Polonais et des Norvégiens. Rapide survol.

Démarrage le 28 septembre avec le premier d’une série de trois trios: Lokomotiv, du bassiste portugais Carlos Barretto, ex-complice d’une multitude de grands jazzmen...

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