Consacré "l’homme du millénaire" par le "Time Magazine", celui qui a donné son nom à la langue anglaise fascine et enchante toujours, source intarissable pour le théâtre, le cinéma, la télévision. C’est en shakespearien goulu que Frédéric Polier, metteur en scène et directeur du théâtre du Grütli, en découd avec "Le conte d'hiver", "pièce de tous les excès" ébouriffante de fantaisies stylistiques.
Plus qu’un hommage, ce spectacle porté par une imposante distribution, relève d’un défi pour Frédéric Polier et sa compagnie. Car "avec Shakespeare, ce n’est jamais l’auteur qui se trompe, mais toujours nous", confie le metteur en scène peu avant la première, dans un article à lire jeudi 28 janvier dans L'Express et L'Impartial. Les quotidiens neuchâtelois donnent également la parole à quelques shakespeariens passionnés, hommes de théâtre, enseignant et étudiant.
Infos pratiques:
«Le conte d’hiver»: jusqu’au 14 février au théâtre du Grütli, Genève; le 18 février au théâtre du Passage, Neuchâtel.