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Le sexe, le sexe et les parents...

Après le succès international des «Corrections» et de «Freedom», l’écrivain américain réitère avec un roman fleuve promis à se transformer en série.

23 juin 2016, 00:38
Jonathan FRANZEN - Date: 20110920 ©Philippe MATSAS/Opale/Leemage/Éditions de L¿OlivierPHOTO LIBRE DE DROITS POUR LA PROMO EN PRESSE ECRITE ET NUMERIQUE + BOOKLET + ENCARTS PUBLICITAIRES (DANS LA PRESSE UNIQUEMENT) + AFFICHAGE SALONS ET LIBRAIRIES (SANS ACHAT D¿ESPACE)TERRITOIRE : FRANCE + PAYS FRANCOPHONES (EUROPE EXCLUSIVEMENT) - SANS EXCLUSIVITÉ - DU 15/03/2016 AU 14/03/2018Pour toute autre utilisation, contacter l¿agence Leemage Opalej franzen

Les hommes ne pensent qu’à baiser, et les femmes à parler. Avec «Purity», Jonathan Franzen écrit (encore?) un roman sur l’irréductible différence entre les hommes et les femmes et leur difficulté à vivre ensemble.

Egalement du sarcasme...

Son roman s’ouvre sur le personnage de Pip, une jeune femme intelligente, sarcastique, mais surtout déboussolée. Son problème principal? Elle aime sa mère, cette femme hypocondriaque qui n’a qu’elle sur terre. Les difficultés qui en découlent: incapacité progressive à se faire des amies féminines, tendance à agresser les hommes qui lui veulent du bien, et à tomber amoureuse d’hommes faibles. Bref, Pip, de son vrai nom Purity, est une véritable nullité relationnelle, une antisociale. Ce portrait corrosif d’un personnage pathétique et le récit de ses nombreux déboires restent ce que Jonathan Franzen écrit de meilleur: dans «Les corrections», Chip, un professeur de littérature, se faisait renvoyer de l’université parce qu’il avait couché avec...

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