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Le génie de la lampe d'Aladin découvre l'opéra-bouffe italien

"Don Pasqualadino" part à la conquête du jeune public à Neuchâtel.

24 déc. 2011, 00:01
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Qu'est donc devenu le génie, après qu'Aladin lui eut rendu sa liberté? Eh bien, il a voyagé! Et voici qu'il réapparaît en Italie, alter ego d'un certain docteur Malatesta... Ainsi l'ont imaginé Ruben Amoretti et Frédéric Mairy, chevilles ouvrières de "Don Pasqualadino", à l'affiche dès lundi à Neuchâtel, dans la petite salle du Passage.

Le bon tour du génie

Mettre un opéra à la portée des enfants, Ruben Amoretti en rêvait, conforté par une aventure similaire qu'il a vue l'an dernier en Italie. Son propre choix s'est porté sur "Don Pasquale", un opéra-bouffe de Donizetti. "En fait, on peut rediriger vers les enfants n'importe quel opéra" , estime le chanteur, qui prête sa voix de basse au rôle-titre, un vieil homme qui veut souffler la "fiancée" de son neveu. L'oeuvre du compositeur italien tendait quelques fils susceptibles d'être reliés à l'histoire d'Aladin, telle qu'elle est racontée dans le dessin animé...

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