«C’est comme faire Festi’neuch sur deux heures au lieu de quatre jours!» Voilà ce que disent les techniciens du spectacle à Ludovic Frochaux, directeur du Neuchâtel Drum Show. Peu avant le roulement de tambour aux patinoires du Littoral, le jeune homme de 25 ans nous dévoilait les coulisses de la manifestation.
«Il y a des nuits où l’on ne dort pas très bien», concède Ludovic Frochaux, tout en gardant un sourire détendu. C’est que la première édition du Drum Show, bénéficiaire, n’a laissé qu’un «tout petit peu de marge».
Indispensables bénévoles
«C’est juste de la folie. Nous sommes quasiment au stade de pros; pas au niveau de l’argent, mais en termes d’organisation», relève le Landeronnais. «Depuis décembre, ça me fait entre 15 et 25 heures par semaine», dit celui qui termine un master en administration publique tout en donnant des cours de tambour au Conservatoire de...