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La Piazza Grande ruisselle de pluie et de bons films

A quelques jours de la fin de la 72e édition du Festival du film de Locarno, la sélection de Lili Hinstin continue de séduire les cinéphiles.

13 août 2019, 00:01 / Màj. le 13 août 2019 à 08:00
Les deux doux rêveurs de «The Last Black Man in San Francisco» de Joe Talbot.

Le ciel se montre fort peu clément avec la première édition de la nouvelle directrice artistique Lili Hinstin. Mais qu’importent les trombes d’eau, après six jours de visionnement tous azimuts, sa programmation ne coule pas pour autant, bien loin de là, à l’exemple des films qu’elle a retenus en compétition internationale, qui, pour la plupart, tiennent la route.

A ce jour, nous en avons découvert 11 sur les 17 proposés. Comme dans tout festival, certains convainquent moins que d’autres, mais le sentiment général inspiré par cette sélection inaugurale est vraiment celui d’un cinéma vivant et audacieux dont Locarno a toujours voulu se faire le porte-étendard.

Humour acerbe

La place me manque pour passer en revue tous les titres qui m’ont séduit, aussi me focaliserai-je sur quatre d’entre eux, en m’excusant par avance de l’injustice infligée à leurs pairs. Unique film étasunien à concourir, «The Last Black Man in San...

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