En 2014, «Les Inrocks» titrait: «Blues Pills délivre la plus belle ordonnance de blues blanc depuis octobre 1970.» Rien que ça. Depuis, le quatuor basé en Suède ne cesse de gagner du terrain en écumant salles et festivals sans relâche. Leur guitariste prodige nantais de 20 ans revient sur deux années inoubliables.
Quels sont les meilleurs moments de votre parcours jusqu’ici?
D’avoir joué au Hellfest. Ce festival est vraiment incroyable! Et d’avoir joué à Nantes, devant toute ma famille: mes grands-parents, mes parents, mes sœurs, mes amis. Tous ceux qui me sont chers étaient là. Je reconnaissais plein de visages dans la salle, ce qui n’arrive pas très souvent. Le Berg Hertzberg, en Allemagne, est également un festival très sympathique que nous avons beaucoup apprécié.
Et vos rencontres mémorables avec d’autres musiciens?
Il y en a forcément eu beaucoup. Nous avons rencontré Johnny Winter lors de ses deux derniers concerts,...