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La face cachée de Frédéric Dard

Le père de San-Antonio a aussi signé une oeuvre dense et tourmentée.

26 févr. 2014, 00:01
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"Romans de la nuit" , de Frédéric Dard, Omnibus, 864 pages

Souvent, c'est l'arbre qui cache la forêt. Mais avec Frédéric Dard (1921-2000), c'est toujours la forêt des livres écrits avec une régularité de métronome - "Trois pages par jour" , confiait-il, "mais trois pages tous les jours" - qui cache un bosquet. Cent quatre-vingts volumes des aventures de San-Antonio, la créature qui a fini par dévorer son créateur en devenant plus célèbre que lui, nous font généralement oublier la cinquantaine de volumes dans lesquels Frédéric Dard a donné le meilleur de lui-même.

Parmi ceux-ci, les 28 titres que l'écrivain nommait lui-même les "romans de la nuit" - un peu comme Georges Simenon avait parlé de "romans de la destinée" à propos de la crème de sa production: "Le testament Donadieu", "Les Pitard", le "Bourgmestre de Furnes", etc.

"Allons, Dard, au boulot!"

Le parallèle entre Frédéric Dard et Georges Simenon...

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