Une ouverture pleine d'émotions, un Nifff qui se déroule très bien. Anaïs Emery est très positive pour la suite du festival. Le public est au rendez-vous, peut-être est-ce dû aux nouveautés introduites cette année, telles que deux sections de films supplémentaires, Film of the third kind et Ultra Movies. Aussi, une nouvelle salle de projections, au temple du bas. Et puis la réhabilitation du genre «gore».
Parmi les tendances dans la compétition, Anaïs Emery relève que les jeunes réalisateurs utilisent beaucoup les codes traditionnels du fantastique pour parler des thèmes qui sont socialement très conscient.
«Il y a un fil rouge autour de la parabole du fantastique pour décrire des phénomènes de notre vie bien réelle.»